Ma collection d'âneries du Web, volume 3 (Je veux ta veste, tes bottes et ta moto)
Alors, en
juin 2015, c'est le journaliste de Vice qui demande aux éditeurs des
rééditions de JG Ballard si ce dernier est un auteur accessible.
« Oui, très... », répondent les gens de Tristram, alors
qu'il est décédé en avril 2009. Le wtf passé, l'interview est
assez rentre-dedans et marrante. On apprend notamment que beaucoup
d'auteurs proposant un manuscrit disent fièrement ne rien lire,
« pour ne pas être influencé » et que Bret Easton Ellis
n'a pas fini de faire un tort énorme à la littérature française.
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Moi :
« Putain, y a personne qui like mon lien vers les figurines en
cacahuètes sur Facebook. »
Elle :
« Normal, c'est complètement con. »
Moi :
« Mais non, c'est génial. Franchement, c'est hyper bien fait.
C'est assez ouf quand même...»
Elle :
« Mais quel gros bébé... »
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Marina
Abramovic et Ulay. Magie du temps qui passe : comment le pitch
tout pourri de l'une des pires émissions du TF1 nineties (Perdu de
Vue avec Jacques Pradel, 1990-1997) est devenu en 20 ans le summum de
l'art contemporain émotif qui fait chouiner les Interwebs.
#generationchochottes
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Never
forget : Tom Hardy, excellent (?) acteur mais cassos de première
bourre.
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Les Hell's
Angels de Nouvelle-Zélande. Mourir pour la vanne ultime : « Hé
Monsieur, t'as du bic sur la gueule ». Quand je m'endors un peu
angoissé, je vois le mec avec son œil mort se tenir dans le coin
sombre de la chambre.
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Je veux tes
bottes, ta veste et ta moto
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